La musique à bord


Le nouvel autoradio, en mode tuning

Le nouvel autoradio, en mode tuning

Quand la musique est bonne… (bonne, bonne bonne…) Humm, désolée. Nous aimons tous les deux beaucoup la musique, et quand nous sommes arrivés sur le bateau, les enfants de Vincent (l’ancien propriétaire) ayant cassé l’autoradio, nous étions en manque. Ce qui a positionné l’achat du’n autoradio en deuxième position sur la liste des choses à acheter pour Lucy (énooorme liste, qui semblait sans fin… pour des gens ayant décidé de vivre avec le moins de possessions possible, c’est un peu paradoxal, c’est vrai…) – le premier item sur lesdite liste étant… des toilettes ! Brann a trouvé un autoradio de voiture pas très cher, totalement tuning, avec couleurs changeantes, un peu ridicule, mais qui convenait aux branchements et à la taille de l’emplacement. Mission accomplie !

 

 

Enfin non, pas vraiment. Parce que dès qu’on allumait l’autoradio, un grésillement très désagréable s’installait. Brann a trouvé qu’il venait des interférences avec les autres appareils électriques allumés, et nous avons donc dû choisir entre le frigo et l’autoradio. Pas génial. Un point positif était que Lucy était équipée de hauts parleurs dans toutes les pièces : cabine avant, cabine arrière, carré et même cockpit ! Ecouter de la musique en navigation est un vrai plaisir, et l’occasion de chanter à tue-tête (j’ai d’ailleurs réhabilité une vieille cassette de chants de marins, convertie en mp3, qui nous permis de participer vocalement lors d’une soirée chants de marins chez Ti Beudeff à Groix…). Mais le problème c’est que les hauts-parleurs étaient branchés en dépit du bon sens, et pas en stéréo. Heureusement un ami ingénieur du son (merci Jean-Louis!), nous a démêlé tout ça, et Brann ayant amputé l’ampli, plus de grésillement, et un système astucieux pour sélectionner si le son va dans la cabine avant, dans le carré ou dans le cockpit. Il ne restait plus qu’à avoir une base de données musicale suffisante pour tenir des heures et des heures, et pouvoir changer de style (il y a des moments pour écouter de la musique classique, d’autres pour danser sur de la cumbia ou sauter sur du Rage Against the Machine, c’est comme ça). Nous étions déjà abonnés à Spotify, mais le plus dur demeurait : télécharger toute notre musique en local. Et internet, ah internet… C’est une autre histoire !


A propos de S

S. est médecin urgentiste et journaliste scientifique, passionnée de lecture, de voyages, de musique, de thé et de chats. Et maintenant de bateaux !

Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *